Dans un immeuble bourgeois des années 60, un financier ( Fabrice Luchini) découvre que, sous les toits, vivent des bonnes espagnoles. Sa vie rangée, tranquille, va en être bouleversée. |
Dans un immeuble bourgeois des années 60, un financier ( Fabrice Luchini) découvre que, sous les toits, vivent des bonnes espagnoles. Sa vie rangée, tranquille, va en être bouleversée. |
Comment des enfants vivent le militantisme de leurs parents surtout lorsqu'on leur met dans la tête que la gauche, c'est les communistes, les pauvres qui veulent voler l'argent de leur grand-parents. La faute à Fidelse passe juste dans l'après 68, entre l'élection du frente popular et le putsh de Pinochet. Sur fonds de combat féministe, ce film montre qu'il n'est toujours facile d'avoir des parents militants ;-)
dvd disponible à la bibliothèque de Bellevue. |
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On ne peut pas voir "Neuilly sa mère" sans penser à "la vie est un long fleuve tranquille". Ca ne se passe pas à Lille, mais à Neuilly, le père n'est pas directeur de l'EDF mais patron d'une entreprise de charcuterie (en Bretagne), mais l'histoire est quasiment la même : le choc culturel pour un enfant de banlieue implanté dans la bourgeoisie. Au bout du premier quart d'heure on devine déjà la fin mais le film est plutôt agréable. |
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Etait-ce bien malin d’aller voir Millénium le film après avoir lu les livres ? A la réflexion …non. D’abord parce que je connaissais bien sûr la fin et que le suspens était assez réduit. Le seul intérêt était le casting. Là, rien à dire, les acteurs collent parfaitement aux personnages. Tout comme l’histoire qui suit scrupuleusement le roman. J’ai pourtant été déçu. Le roman mêle plusieurs histoires en même temps. Or, le film ne peut rentrer dans tous les détails. Alors pourquoi ne pas se concentrer sur la recherche de l’assassin d’Harriet et laisser tomber les relations entre Lisbeth et son tuteur qui n’apportent rien, sauf des scènes qui justifient pleinement que ce film soit interdit aux moins de 12 ans. Et le décor ! C’est vraiment comme ça les intérieurs des suédois ? Ils ne connaissent pas IKEA ? C’est moche ! On se croirait dans les années 70. Conclusion : il vaut mieux lire la trilogie d’abord parce que je ne suis pas sûr que le film donne envie de la lire. |
"La journée de la jupe", c'est une tragédie. Un film qui a pour toile de fonds un collège de banlieue mais dont le message est universel : les non-dits, le refoulé, le caché finissent toujours par ressortir. Et plus la réalité est niée, plus son explosion est violente. Il suffit ensuite d'introduire une arme au sein du groupe, et ( comme dans "la Haine") le pire est à craindre. En plus j'ai bien apprécié toutes les répliques sur la défense de la laïcité, quelque soit les religions. Un film à voir et à revoir. |
Millénium, le film, est sorti en Suède ce week-end. Les Français devront attendre le 13 mai pour savoir à quoi ressemblent les héros de la trilogie, Mikael Blomkvist et Lisbeth Salander. |
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Le supplément télé du Télégramme a publié une critique au vitriol de "je déteste les enfants des autres"qui doit passer cette semaine sur Canal +. Ce film ne mérite pas d'être descendu en flèche aussi violemment. Surtout lorsqu'en face le même soir on trouve le gendarme de Saint-Tropez ! Voici le post que j'avais publié il y a un an après avoir vu le film en salle : Je déteste les enfants des autres et j'ai adoré "je déteste les enfants des autres". La recette est assez simple : un couple et deux enfants, 2 mères célibataires avec chacune deux enfants. On met tout ça dans une maison pendant quelques jours. On fait venir un mec et une nymphomane et il suffit de regarder les réactions des uns et des autres. Et chacun se révèle, les petits comme les grands. Bien sûr, ça ne fonctionne que parce que les héros sont des Parisiens. Et des gratinés ! Avec des provinciaux, de l'Ouest de la France par exemple, tout se serait passé comme sur des roulettes. |
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Le 3 décembre, Arte diffusera le promeneur du champs de Mars. Voilà ce que j'avais écrit sur ce film lors de sa sortie : Un film qu’on peut ne pas voir Maintenant c'est sans doute un film qu'on peut revoir, en ayant à l'esprit que Georges-Marc Bénamou est devenu le conseiller culturel de Sarkozy. |
Je déteste les enfants des autres et j'ai adoré "je déteste les enfants des autres". La recette est assez simple : un couple et deux enfants, 2 mères célibataires avec chacune deux enfants. On met tout ça dans une maison pendant quelques jours. On fait venir un mec et une nymphomane et il suffit de regarder les réactions des uns et des autres. Et chacun se révéle, les petits comme les grands. Bien sûr, ça ne fonctionne que parce que les héros sont des Parisiens. Et des gratinés ! Avec des provinciaux, de l'Ouest de la France par exemple, tout se serait passé comme sur des roulettes. |
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J'avais un bon souvenir d'Excalibur. C'est en toute confiance que je l'ai emprunté à la bibliothèque. Quelle déception !!! c'est long, c'est mou, c'est ennuyeux ! On ne comprend rien. |
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